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Quels stickers pour votre commerce ?

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La communication est l’un des piliers pour le développement et la rentabilité d’une activité. Plusieurs moyens existent pour asseoir une communication efficiente. Cependant, il est important de se distinguer dans sa technique de communication afin de toucher plus de clients. Les stickers constituent l’un des moyens de communication les plus efficaces et plus simples à utiliser, pour atteindre le maximum de clients. Découvrez ici trois bons usages à faire des stickers.

Collez des stickers pour afficher vos réseaux sociaux

Il est possible de faire passer toutes sortes d’informations sur des stickers. Vous pouvez donc renseigner vos différents réseaux sociaux sur les stickers de la forme ou de la couleur de votre choix. Sur un autocollant, vous pouvez par exemple écrire « Rejoignez-nous sur Facebook » ou encore « Découvrez notre nouvel arrivage sur notre page Instagram ». L’inscription doit être suivie des identifiants de la page ou du logo de l’application pour permettre aux clients d’y accéder sans difficulté.

Les réseaux sociaux sont très utilisés de nos jours et le simple fait de voir le sticker de l’un de ces logos sur votre vitrine attire plus l’attention sur votre marque. Comme on peut le voir sur Stickeramoi.com, il existe une grande variété de stickers pour réseaux sociaux. De plus, les clients peuvent découvrir de nouveaux articles et les avantages que vous offrez par ce biais. Ils seront attisés par la curiosité et pourront découvrir plus amplement votre activité sur internet.

Faites créer un sticker avec les horaires d’ouverture de votre commerce

Vous devez vous assurer de fournir les informations utiles à votre clientèle afin qu’elle puisse préparer ses déplacements et ses achats. Les informations les plus importantes sont celles en lien avec les heures d’ouverture et de fermeture de votre boutique. La meilleure manière de vous assurer que ces informations ne leur échappent pas est d’utiliser des stickers. Vous devez penser à choisir des couleurs vives qui ne passent pas inaperçues.

La forme de votre sticker joue également un rôle prépondérant dans l’attention que vos clients y accordent. Veillez à faire confectionner un sticker qui s’accorde parfaitement avec l’image de votre marque. Il vous faut par ailleurs bien choisir l’emplacement de votre autocollant pour que les clients ne le ratent pas à l’entrée. De plus, pensez à faire appel aux services d’un professionnel en conception graphique de sticker. Il pourra vous prodiguer des conseils sur la forme, la couleur et le design du sticker à choisir.

sticker commerce

Les stickers pour présenter vos avantages

Les stickers constituent un excellent moyen de communication pour les activités commerciales. Leur utilisation permet de marquer les esprits et crée le besoin de revenir vers vos produits chez la clientèle. Grâce aux stickers, ils penseront directement à vous, car votre boutique leur sera restée dans leur tête. Les avantages que vous proposez pour vos services ou articles retiendront davantage leur attention si vous les inscrivez sur des stickers. Vous pouvez coller un sticker de Click and Collect sur votre vitrine par exemple, pour informer que l’achat en ligne et la livraison sont possibles chez vous.

Les enfants et les adolescents sont principalement attirés par les stickers. Si vos produits sont destinés à cette cible, il peut être judicieux de préciser le mode d’emploi des articles sur les autocollants. L’utilisation des stickers devient indispensable pour la promotion de toute activité. Ils constituent un moyen simple et efficace pour faire la publicité afin d’atteindre un plus grand nombre de personnes. Ils sont utiles tant pour véhiculer des messages et fournir des informations primordiales que pour orienter la clientèle. Les autocollants sont également économiques, car ils sont résistants et permettent la communication sur une durée indéterminée.

Pourquoi la publicité est-elle primordiale pour le développement de votre entreprise ?

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À l’ère actuelle, la publicité est plus que jamais indispensable pour assurer le développement d’une entreprise. Différents canaux de communication sont à la disposition de ces dernières pour faire connaître leur marque, leurs produits et services. Si elle s’inscrit dans une bonne stratégie marketing, la publicité est un véritable facteur de réussite pour une entreprise. Découvrez l’importance de la communication pour le développement de votre business.

La publicité, l’un des meilleurs moyens d’augmenter les ventes de votre entreprise

Qu’elle soit diffusée sur les canaux de communication traditionnels (télévision, radio, affiches, flyers…) ou sur internet, la publicité a pour principal rôle de mettre en avant votre marque et vos produits ou services. Elle va vous aider à atteindre et à convaincre des clients potentiels. Pour avoir l’impact escompté, vous devez faire appel à une agence de pub qui va mettre en place une stratégie marketing performante et adaptée à votre cible.

Elle va définir les canaux de communication ou les supports à explorer, selon vos besoins et votre public : réseaux sociaux, site vitrine, Google ads, podcasts, télévision, supports papier, etc. Elle va aussi définir le contenu à privilégier et le bon timing pour la diffusion afin d’avoir de l’impact selon les prospects visés. Cela va faire augmenter vos ventes progressivement.

Démarquez-vous de la concurrence avec une identité de marque pour votre entreprise

Une publicité créative est essentielle pour asseoir votre identité de marque. L’agence de publicité choisie va travailler votre charte graphique si besoin pour mettre en avant votre image de marque. Tous les supports traditionnels ou digitaux mettront en avant les couleurs de votre entreprise, votre logo et vos valeurs pour attirer l’attention des consommateurs. En misant sur des publicités créatives, vous allez être reconnaissable facilement et vous différencier de vos concurrents.

Ils vont rapidement vous identifier et auront même une opinion positive sur votre marque (entreprise de confiance, fiable, sérieuse, innovante, proche des clients…) grâce à une publicité bien réalisée. Pour atteindre cet objectif, la créativité est essentielle. Une campagne publicitaire réussie et bien ciblée va permettre d’identifier votre marque et vos produits et vous démarquera de la concurrence.

meilleure agence de publicité

Les publicités peuvent être ciblées sur des groupes démographiques spécifiques

Pour que les publicités soient efficaces, il faut qu’elles soient ciblées sur des groupes de personnes spécifiques. C’est d’ailleurs l’atout d’une campagne publicitaire bien définie, car tout le monde n’a pas les mêmes habitudes. Il faut en outre tenir compte d’éléments propres à une ville ou une région que vous pouvez exploiter. Cela permettra aux clients de s’identifier à votre marque, ce qui rendra vos publicités plus impactantes. De même pour les supports qui doivent être adaptés à la tranche d’âge ciblée.

Notez que le suivi des résultats et des impacts de vos publicités est également essentiel. Il est en effet primordial de mesurer l’efficacité de votre campagne publicitaire pour en tirer des leçons afin d’améliorer votre stratégie marketing. Les agences spécialisées utilisent divers outils pour mesurer l’impact des différentes publicités. Elles vont se tenir au courant des pratiques et des supports qui marchent dans le secteur pour améliorer vos contenus marketing par la suite.

Paiement différé, paiement fractionné : fonctionnement et avantages

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Paiement différé, paiement fractionné

Permettre à un client de payer son iphone ou son jean en plusieurs fois ou en différé, en ligne ou en magasin, c’est désormais possible ! Cette solution, proposée par Alma permet d’augmenter significativement le chiffre d’affaires et le panier moyen des commerçants. On vous explique tout !

Les intérêts de proposer des facilités de paiement

Proposer des facilités de paiement est un moyen de convaincre le client de se tourner vers une enseigne plutôt qu’une autre, notamment sur des gammes de produits  ayant un prix moyen élevé.

Le paiement en plusieurs fois

Le paiement fractionné a de nombreux avantages pour le client. Il permet d’acheter immédiatement un bien même si on ne dispose pas des fonds immédiatement pour le payer “d’un coup”. Le paiement sera réalisé en 2, 3, 4, voire 10 ou 12 fois, permettant de gérer sa trésorerie de façon efficiente !

Le paiement différé

Le “pay later” consiste à différer le débit de la somme du compte bancaire du client, par exemple à J+15 ou J+30.

Ce service permet au client de régler un achat imprévu sans être à découvert par exemple, il offre donc plus de souplesse qu’un paiement traditionnel et permet comme le paiement en plusieurs fois d’effectuer des ventes à des moments ou les freins à l’achat sont très forts (deuxième quinzaine du mois, période de Noël…).

proposer des facilités de paiement

Une solution pratique et garantie pour les commerçants

Grâce à un service comme Alma, mettre en place des solutions pour faciliter le paiement n’est plus réservé aux grandes enseignes, même les petits magasins et les sites e-commerce de taille moyenne peuvent s’y mettre.

Le client n’a plus besoin d’accomplir de longues démarches de prêt à la consommation et l’acceptation est ici instantannée !

Un service compatible avec (presque) toutes les plateformes e-commerce

Alma est compatible avec quasiment toutes les plateformes e-commerce et a développé un plugin pour plusieurs CMS comme Shopify, Prestashop, Magento, WooCommerce, Wizishop, ou encore SFCC. Il suffit alors de quelques clics pour l’ajouter à vos moyens de paiement.

Par ailleurs, il est possible d’utiliser Alma en caisse, et cette fois-ci sans aucune installation, directement en se rendant sur l’interface POS d’Alma.

Un paiement garanti

Avec Alma, le client bénéficie d’une liberté de payer à son rythme tandis que le commerçant est payé immédiatement.

Du point de vue du commerçant, si le client tarde à s’acquitter ou rencontre des problèmes de paiement, la situation ne vous concerne pas. Vous n’aurez pas à payer de frais supplémentaires ni à vous occuper de recouvrer la dette du client.

Modèle financier : Supporter seul la commission ou partager avec le client

Avec Alma, vous avez le choix entre endosser tout seul la commission ou la partager avec votre client que ce soit pour un paiement différé ou un paiement fractionné. Le taux varie en fonction du délai de paiement et du risque de votre industrie.

Conclusion

En 1 mot, si vous êtes commerçant ou e-commerçant et que vous avez des produits un panier moyen d’au moins une cinquantaine d’euros, Alma est fait pour vous ! Vous pouvez offrir de la flexibilité à vos clients et augmenter votre taux de conversion à moindre frais.

Vente d’or : comment le faire au meilleur prix ?

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Le métal jaune, associé à la fortune, est sans équivalent. Le prix de quelques dizaines de grammes d’or est globalement exorbitant. Cette matière première est recherchée par les joailliers et constitue un produit d’investissement sur les marchés financiers. Objet de transactions, l’or se négocie et sa valeur est susceptible de fluctuer suivant plusieurs facteurs. Si vous en possédez et voulez le céder au meilleur prix, lisez comment procéder dans cet article.

Définissez le type d’or que vous possédez

L’or est disponible sur le marché sous plusieurs formes qui influent sur sa valeur. Vous avez la possibilité de vendre des bijoux fabriqués en métal jaune. Si vous avez des parements en cette matière, notez que seule la valeur de l’or sera prise en compte. Dans bien des cas, l’or est associé à d’autres matières (métaux et/ou pierres) par les joailliers pour créer des bijoux homogènes. Vous pouvez vendre un collier, une bague, une médaille, un bracelet… totalement ou partiellement en or. La teneur en or sera considérée indépendamment de l’aspect esthétique du bijou. Il faut souligner que les acheteurs réinvestissent l’or ou en font usage pour créer de nouveaux articles de bijouterie.

Soulignons que les bijoux en or ont une valeur moins élevée que les autres types d’or sur le marché. Et pour cause, il y a souvent un alliage entre l’or et d’autres métaux dans l’industrie de la joaillerie. Une bonne proportion de cuivre et/ou d’argent se retrouve dans les bijoux dorés. Vous pouvez vendre des lingots et lingotins (petits lingots) d’or. La matière première est entièrement pure sous cette forme. Si vous avez un lingot/lingotin ou une barre d’or, vous possédez alors un type d’or pouvant faire l’objet de négociations sur les marchés boursiers. Cet or est de 24 carats. Cela signifie que la teneur en or est la plus forte possible.

Les monnaies constituent également une catégorie d’or que vous pouvez vendre. Leur valeur varie selon qu’il s’agit de pièces d’or numismatiques ou de pièces d’or d’investissement. À la différence des lingots d’or, les pièces d’or ne s’évaluent pas en fonction de leurs poids, mais plutôt de la prime. Cette dernière équivaut à la différence entre la cotation du jour et la valeur réelle du poids en or fin. Vous pouvez vendre d’autres objets en or comme les cuillers, les vases, les accessoires de décoration… Même une prothèse dentaire en or peut être vendue.

Déterminez la valeur de votre or

Dans le but de vendre votre or au meilleur prix, vous devez connaître en amont sa valeur précise ou approximative. Vous éviterez ainsi de vous faire duper sur le marché. L’estimation du prix devra évidemment se faire en fonction du type d’or que vous possédez.

Comme le montrent des spécialistes sur https://www.goldinfo.fr, la cotation du cours de l’or, l’ancienneté d’un bijou, ou encore le poids en or influent sur le prix. Vous avez la possibilité d’estimer la valeur marchande d’une monnaie ou bijou en or, en procédant au test de magnétisme.

vente or

Cela consiste à placer un aimant de forte puissance magnétique au-dessus de l’objet testé. Ce dernier ne sera pas aimanté s’il contient de l’or en quantité suffisante. Une méthode plus sûre pour reconnaître un bijou en or consiste à rechercher le poinçon. Ce dernier est un cachet qu’appose un fabricant, un importateur, un bureau de garantie française ou un joaillier sur un objet en or. Le poinçon détermine la teneur en or dans la pièce ou le bijou.

Après l’évaluation personnelle, il vous faudra recourir à un spécialiste du domaine pour la confirmation ou une estimation plus précise. Vous pouvez d’ailleurs vous orienter directement vers un professionnel pour gagner du temps. C’est à celui-ci de définir un prix auquel votre métal précieux peut être vendu en fonction notamment du cours de l’or en temps réel. Sur les sites de certaines agences spécialisées dans les opérations liées à l’or, la cotation de l’or est affichée et mise à jour régulièrement.

Choisissez le bon acheteur et comparez les prix proposés

L’or peut être vendu à divers profils d’acheteurs. Vous pouvez céder le vôtre à :

  • une banque,
  • un comptoir de l’or,
  • une officine de rachat de métaux précieux,
  • un particulier.

Puisqu’il est question d’effectuer une vente au meilleur prix, oubliez les banques parce qu’elles prélèvent des frais de commission non négligeables. Avec elles, le montant que vous devriez percevoir après la vente peut être plafonné. La vente à un particulier ne vous offre pas, non plus, plusieurs possibilités pour faire une bonne affaire. Les individus qui effectuent ces achats sont généralement des collectionneurs. Chacun d’eux ne s’intéresse qu’à des pièces, bijoux et autres objets en or très précis.

Recourez à un comptoir de l’or ou une officine de rachat de métaux précieux pour vendre votre or. Il s’y trouve des spécialistes du marché de l’or. Avec eux, vous avez des chances de faire une belle opération, d’autant plus qu’ils sont constamment à la recherche d’or. Ils achètent le métal jaune sous toutes ses différentes formes. Pour céder votre or à bon prix, comparez les prix que proposent les acheteurs. Rendez-vous sur les sites des comptoirs et des officines de rachat d’or locaux et renseignez-vous sur leurs tarifs. La plupart du temps, ces commerces proposent des prix variables selon la cotation de l’or sur le marché et le type d’or.

Vendez votre or à un acheteur réputé pour l’inspection et le paiement

Pour vendre votre or au meilleur prix, ne choisissez pas le premier acheteur proposant des prix qui semblent alléchants. Intéressez-vous à la réputation de plusieurs agences de rachat d’or. Référez-vous aux avis clients. Les acheteurs de renom ont souvent des témoignages positifs émis par certains de leurs clients. Optez pour celui qui est reconnu pour la régularité de son inspection et de son paiement.

Certains comptoirs de métaux précieux se proposent d’évaluer gratuitement et sans engagement les objets en or des vendeurs. Le choix d’un tel établissement vous donne la garantie de réduire vos dépenses en marge de la vente de votre or. Veuillez choisir un acheteur qui procède au paiement dans l’immédiat lorsque la transaction est conclue. Assurez-vous que la structure sollicitée paie ses achats par chèque ou virement bancaire, conformément aux normes en vigueur en France.

Pour finir, signalons que vous serez exonéré de taxes si vous vendez des bijoux en or pour une valeur maximale de 5 000 euros. En revanche, si la vente concerne d’autres formes d’or, et/ou rapporte plus que ce montant, vous devrez payer la taxe sur les métaux précieux ou la taxe sur les plus-values réelles.

Les dépenses liées à la naissance d’un bébé et comment les financer

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Assurer le bien-être d’un nouveau-né est une véritable priorité pour les parents. Pour cela, certaines dispositions sont prises à l’avance. Ces dernières impliquent généralement des dépenses qu’il est important de connaître pour mieux y faire face. Voici les différentes dépenses liées à la naissance d’un bébé et quelques moyens pratiques pour les financer.

Quelles dépenses devez-vous prévoir à l’arrivée d’un nouveau-né ?

Pour accueillir votre enfant en toute sérénité, il est préférable de prévoir certaines dépenses. Elles concernent principalement le matériel de puériculture, l’alimentation et les vêtements de votre bébé.

Les dépenses pour le matériel de puériculture

C’est l’ensemble des équipements nécessaires pour assurer le confort de bébé. Il s’agit de :

  • biberons dont le prix varie entre 5 et 10 euros,
  • couffin ou lit bébé qui coûte entre 100 et 500 euros,
  • siège auto dont le coût moyen se situe entre 50 et 250 euros,
  • commode ou table à langer dont le prix se situe entre 50 et 500 euros,
  • baignoire bébé vendue entre 20 et 70 euros.

Vous aurez également besoin d’une poussette pour faciliter les déplacements de bébé. Cet équipement est disponible en entrée de gamme à partir de 100 euros, mais peut atteindre des milliers d’euros en fonction de ses caractéristiques. Pour anticiper les voyages avec votre bébé, vous pouvez aussi prévoir un lit de voyage qui se vend entre 50 et 250 euros. Pour le matériel de puériculture, les dépenses à prévoir se situent en moyenne entre 400 et 2 000 euros.

Les dépenses pour l’alimentation de votre bébé

Si vous prévoyez de donner le biberon à votre bébé, il faut prévoir les dépenses pour l’achat du lait et de l’eau. En partant de la base de 3 à 4 boîtes de lait par mois, il faut prévoir mensuellement entre 60 et 80 euros jusqu’au 6e mois. Pour l’eau, il faut prévoir entre 6 et 8 euros chaque mois.

Les vêtements de bébé

Pour bien accueillir votre bébé, il faut prévoir au moins trois types de tenues de jour et de nuit de tailles différentes. Il s’agit de :

  • gigoteuses qui coûtent entre 15 et 40 euros,
  • pyjamas dont les prix varient entre 10 et 20 euros,
  • t-shirts et pantalons vendus à l’unité entre 10 et 20 euros.

Vous devrez également vous équiper de couches qui coûtent en moyenne 25 euros par lot de 10. Il faut ainsi prévoir entre 350 et 650 euros pour habiller votre bébé.

Comment financer les coûts liés à votre bébé ?

Les dépenses pour l’accueil d’un nouveau-né peuvent être importantes et déséquilibrer le budget familial. Pour vous aider à tirer votre épingle du jeu, il existe de nos jours plusieurs solutions de financement. Parmi ces dernières figure le prêt bancaire tel que proposé par Crédigo et d’autres organismes de crédit spécialisés dans le courtage, le rachat de crédit et l’assurance de prêt.

Le crédit pour accueillir votre bébé est accordé selon votre situation personnelle, notamment vos revenus mensuels, vos charges, votre capacité de remboursement, etc. Vous avez le choix entre plusieurs types de crédit. Il s’agit par exemple du prêt personnel (affecté ou non affecté), du crédit renouvelable, du microcrédit, du regroupement ou du rachat de crédit, etc. Pour bien choisir le type de crédit qui vous correspond, il faut tenir compte de critères comme le montant requis pour l’investissement, la durée de remboursement, les obligations, etc.

courtier rachat crédits naissance bébé

À quelles aides pouvez-vous prétendre pour financer ces dépenses ?

Il existe certaines aides sociales qui permettent d’alléger les dépenses relatives à l’arrivée de votre bébé. Il s’agit de dispositifs qui couvrent tout ou partie des dépenses liées à l’éducation et aux besoins de votre enfant.

La prime de naissance

Versée une seule fois lors du 7e mois de grossesse, cette aide est accordée par la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) aux futurs parents percevant moins de 32 520 euros. Pour en bénéficier, vous devez toutefois déclarer la grossesse auprès de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie et de la CAF.

La Prestation d’Accueil du Jeune Enfant (PAJE)

Elle est versée par la CAF pour les enfants de moins de 3 ans. Pour l’obtenir, il faut adresser une demande accompagnée de certains justificatifs à la CAF. Il s’agit d’une copie de l’acte de naissance de l’enfant et de la photocopie du livret de famille.

La Prestation d’Éducation Partagée de l’Enfant (PreParE)

Elle permet à l’un ou aux deux parents d’un enfant de moins de 3 ans de réduire leur activité professionnelle pour s’occuper de leur bébé. Son montant peut être majoré en fonction du nombre d’enfants dans cette tranche d’âge.

Quelques conseils pour économiser certaines dépenses

Pour économiser sur le budget des dépenses liées à l’arrivée de bébé, il faut faire une liste du strict nécessaire. Cela vous évitera les dépenses inutiles. De plus, choisissez d’acheter certains équipements d’occasion. Les accessoires neufs pour bébé sont en effet beaucoup plus coûteux que les articles d’occasion.

Il est très simple aujourd’hui de trouver une poussette, un berceau ou tout autre matériel en occasion à des prix abordables. Il faut néanmoins faire attention à la qualité des produits, notamment ceux qui doivent assurer la sécurité de bébé comme le siège auto. Les couches représentent par ailleurs de très grosses dépenses. Nous vous recommandons d’utiliser des couches lavables pour réaliser d’importantes économies durant les premières années de la vie de votre enfant.

Comment organiser un anniversaire d’entreprise à Paris ?

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Une fête d’anniversaire d’entreprise est un événement au cours duquel cette dernière doit être mise à l’honneur. Son parcours, les étapes franchies au fil des années, l’implication des collaborateurs ainsi que les valeurs que vous tentez de défendre sont autant d’éléments qu’il faudra prendre en compte. En clair, l’objectif est d’organiser un événement sur mesure et parfaitement en accord avec la personnalité de votre société. Découvrez des idées pour organiser un anniversaire d’entreprise qui marquera les esprits.

Des professionnels de l’événementiel pour votre anniversaire d’entreprise

Contrairement aux séminaires, les anniversaires d’entreprise ne s’organisent pas chaque année. C’est un événement qui est mis en œuvre après un certain nombre d’années et qui vise non seulement à mettre l’entreprise sur le devant de la scène, mais aussi à faire connaître son parcours et les faits marquants de son histoire. L’anniversaire d’entreprise est également une occasion propice pour faire passer un message, présenter vos axes de développement et affirmer votre positionnement. Il va donc sans dire que l’enjeu d’un tel événement est de taille et que la moindre erreur ne doit pas être admise. C’est pourquoi il est judicieux de s’en remettre à l’expertise d’un professionnel de l’événementiel, en l’occurrence une agence proposant des services destinés aux professionnels.

Ce spécialiste vous accompagne tout au long de l’organisation. Il vous aide dans un premier temps à trouver, selon vos préférences, le cadre idéal pour fêter l’anniversaire de votre société. Cet événement étant l’un des meilleurs moments pour pratiquer des activités de groupe, les professionnels de l’événementiel vous proposent une série d’activités ludiques à expérimenter entre collaborateurs. Le professionnel se charge de tout, y compris des réservations et de l’organisation proprement dite. Faire appel à un expert de l’événementiel est l’assurance de réussir votre projet. Vous pouvez par ailleurs opter pour une croisière sur la Seine pour un tel événement à Paris et être sûr de surprendre vos invités en leur offrant un moment inoubliable.

Croisière sur la Seine événement d'entreprise

Choisissez un lieu atypique à Paris !

Pour un anniversaire d’entreprise réussi, il convient de choisir un lieu original qui sort de l’ordinaire. Oubliez les traditionnelles salles de fête et optez pour un site authentique en accord avec vos préférences. Prisée pour ses infrastructures, ses attraits et les innombrables lieux historiques qu’on y trouve, la ville de Paris est l’endroit par excellence pour organiser votre anniversaire d’entreprise.

Vous avez ainsi la possibilité d’organiser votre événement d’entreprise dans un musée si le cadre répond à vos attentes. Vous pouvez aussi opter pour la salle de l’Aquarium du Comptoir Général, l’OFF Paris Seine, l’Angelina Rivoli ou tout simplement l’aquarium de Paris. Beaucoup de professionnels organisent aussi des événements d’entreprise sur un bateau. C’est une expérience unique que vos collaborateurs prendront du plaisir à vivre.

Les étapes clés pour organiser un anniversaire d’entreprise

L’organisation d’un anniversaire d’entreprise se fait en plusieurs étapes. Après avoir fait appel au professionnel de l’événementiel, prenez le soin de le briefer sur le contexte interne de votre entreprise. Pour cela, vous devez lui apporter des informations sur vos valeurs, le message que vous désirez faire passer, vos visions ainsi que les moments forts de votre histoire. La deuxième étape consiste à définir l’environnement externe en prenant en compte le contexte économique, les événements réalisés par vos concurrents, etc. Il est aussi important que l’agence en charge du projet vous informe sur les nouvelles tendances en matière d’événementiel, en l’occurrence en ce qui concerne les avancées technologiques. Vous devez par ailleurs décrire le profil des participants (public cible, nombre de participants, etc.) et communiquer au maximum sur l’événement.

Fiscalité et droit des sociétés : de quoi s’agit-il ?

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La création et la gestion d’une société impliquent de posséder certaines connaissances techniques sur le plan financier, mais aussi sur le plan juridique. La compréhension du droit des sociétés peut ainsi être un véritable atout pour tous les acteurs d’une entreprise. Les notions de droit peuvent cependant être difficiles à cerner. Nous abordons ainsi l’essentiel à savoir sur le droit des sociétés pour vous aider à y voir plus clair.

Qu’est-ce que le droit des sociétés et qu’englobe-t-il ?

Par définition, le droit des sociétés est une branche du droit des affaires qui englobe l’ensemble des règles qui régissent la vie de la personne morale (société). De fait, il concerne la création, le fonctionnement ainsi que la dissolution des sociétés. Il traite également toutes les affaires touchant la capacité juridique de plusieurs structures comme les fondations, les associations et les entreprises. Le droit des sociétés définit aussi les normes relatives à la fusion des sociétés, à la cession de fonds de commerce ou encore au changement des statuts d’une entreprise. Comme les autres branches du droit privé, cette discipline s’inspire de diverses sources. Dans les faits, le Code des sociétés est la principale source interne de ce droit. Il énonce toutes les règles du droit des sociétés commerciales.

Toutefois, le Code civil français de 2021 et le Code de commerce intègrent aussi des dispositions relatives aux sociétés dans certains articles. À titre d’exemple, le code du Commerce indique les règles applicables à chaque type d’entreprise commerciale. Les normes qui découlent des groupements communautaires constituent par ailleurs des sources communautaires de cette discipline. La connaissance du droit des sociétés est alors indispensable pour tout entrepreneur qui souhaite gérer ses activités en toute légalité. Au vu de la complexité de ce droit, il peut cependant être judicieux de faire appel à un professionnel qui peut être d’un précieux secours pour vous éclairer. Nous avons un exemple d’avocat en droit des sociétés à Ferney-Voltaire qui est un spécialiste des affaires des entreprises et qui nous explique qu’il saura vous aider à choisir le type de société qui convient à votre projet ou encore à régler les problèmes de gestion interne.

avocat droit des sociétés à Ferney-Voltaire

Quelques-uns des principaux acteurs du droit des sociétés

Toute personne ayant un rapport avec une entreprise peut être considérée comme un acteur du droit des sociétés. Les dirigeants, les associés et les cadres sont les principaux acteurs internes de cette discipline. Elle définit les rôles, leurs responsabilités ainsi que les sanctions applicables à leurs égards en cas de faute. C’est la raison pour laquelle, ils doivent posséder une connaissance basique du droit des sociétés afin de prendre des décisions qui respectent les conventions réglementées.

En tant qu’entrepreneur, vous pouvez par ailleurs être amené à cumuler le rôle de dirigeant et celui d’associé. Puisque le Code des sociétés énumère les conditions relatives à la rémunération de ces parties prenantes de l’entreprise, vous devez être bien informé pour éviter tout problème de fiscalité. Les acteurs externes qui subissent l’influence de la société ou dont les actions ont un impact sur cette dernière sont en outre des acteurs du droit des sociétés. Il s’agit notamment :

  • des clients,
  • des fournisseurs,
  • des investisseurs,
  • des concurrents.

Cette branche du droit privé définit en effet les rapports entre les acteurs internes et externes d’une société. C’est pourquoi il peut être avisé de s’intéresser aux modalités de fonctionnement des différents types d’entreprises. À titre d’illustration, en tant qu’investisseur, avoir des notions en droit des sociétés peut vous être utile pour analyser la situation d’une structure afin de faire un investissement rentable.

Les différents types de sociétés en France

En France, il existe de nombreux types de sociétés possédant chacune diverses caractéristiques. Elles peuvent tout de même être regroupées en deux catégories. La première concerne les sociétés de personnes et la deuxième regroupe les sociétés de capitaux.

Les sociétés de personnes

Les sociétés de personnes désignent toutes les entreprises dont le bénéfice est imposé aux associés proportionnels aux droits qu’ils possèdent. Il s’agit notamment des SNC (sociétés en nom collectif), des EURL (entreprises unipersonnelles à responsabilité limitée) et des SCP (société civile professionnelle). Bien qu’elles soient toutes sous le régime des sociétés de personnes, ces formes juridiques possèdent quelques différences.

La SCP est par exemple uniquement réservée aux individus exerçant une activité libérale. D’un point de vue fiscal, ce type d’entreprise est soumis à l’impôt sur le revenu. À l’inverse de la SCP, la SNC peut être rattachée au régime fiscal de l’impôt sur les sociétés. Même si elle peut avoir un seul gérant, une société en nom collectif se doit d’avoir au moins deux associés commerçants. L’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, quant à elle, ne peut avoir qu’un seul associé.

Les sociétés de capitaux

Les sociétés de capitaux correspondent aux structures commerciales soumises à l’impôt sur les sociétés. Les sociétés anonymes (SA), les sociétés par actions simplifiées (SAS), les sociétés à responsabilité limitée (SARL) sont les principales formes juridiques relevant du régime des sociétés des capitaux. Il faut tout de même noter qu’il est possible pendant 5 exercices maximum d’opter pour une imposition directe au nom des associés de ce type d’entreprise. Ce changement de régime fiscal n’est toutefois pas sans risques. N’hésitez donc pas à faire appel à un avocat spécialisé en droit des sociétés pour choisir le meilleur régime fiscal pour votre entreprise.

Les 5 avantages de créer une SAS

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Les 5 avantages de créer une SAS

Depuis quelques années, les PME optent davantage pour le SAS. La société par actions simplifiées séduit les entrepreneurs, car elle présente de nombreux avantages. On parle notamment d’un cadre juridique moins rigide.

Le SAS, rappelons-le, est la combinaison astucieuse entre la société des personnes et celle des capitaux. Cette association permet de profiter d’une démarche administrative souple et d’une sécurisation du statut des dirigeants.

On constate également des avantages au niveau de la fiscalité. Pourquoi la plupart des entrepreneurs s’orientent-ils vers le SAS ? Nous allons répondre à cette question en passant en revue les cinq plus grands avantages de cette forme juridique.

1. Une très grande liberté dans le fonctionnement

Le premier avantage de la SAS se situe au niveau de l’administration de l’entreprise. En d’autres termes, les démarches dans la gestion en général de l’entreprise sont plus simplifiées. À savoir que toutes les actions effectuées au sein de la société sont régies par voie statutaire.

Voici les informations à retenir:

  • Toutes  personnes physiques et morales peuvent procéder à la constitution d’une SAS ;
  • Deux personnes doivent être associées dans la création de la société. Une de ces personnes sera nommée président de l’entreprise. S’il s’agit d’un seul associé, on parle de SASU ;
  • La responsabilité des associés se limite à leurs apports au sein de la société ;
  • Le capital social symbolique pour le SAS est de deux euros contre un euro pour le SASU ;
  • Vu que le SAS dispose d’un capital variable, le montant peut être défini dans le statut juridique ;
  • La forme juridique ne nécessite pas la nomination d’un commissaire au compte. Il n’y a pas de règlement qui l’impose. Il n’y a pas non plus de suivi ou de  vérification.
  • Dans le cas où les associés exercent un métier au sein d’un organe de contrôle, il leur est possible de demander un contrat de travail.

administration de l’entreprise

2. L’impôt : un critère qui fait pencher la balance vers le SAS

Lorsqu’il est temps de choisir une forme juridique, les entrepreneurs prennent toujours en compte la question de la fiscalité. Le SAS est actuellement soumis à l’impôt sur les sociétés avec un taux normal de 25% ou un taux réduit de 15% à la TVA.

Il est possible de passer à l’impôt sur le revenu si :

  • Le capital est détenu à 50% par des personnes physiques ;
  • 34% du capital est détenu par le dirigeant ainsi que sa famille ;
  • Il s’agit d’une société qui a moins de cinq ans.

3. Le statut du président

Le statut du président est un autre avantage pour les entrepreneurs qui optent pour le SAS. À titre de rappel, le président de la société bénéficie du statut de salarié, ce qui lui permet de bénéficier du régime de protection sociale.

Ce n’est pas le cas pour le dirigeant d’une SARL. Notons cependant que le président de l’entreprise ne bénéficie pas de l’assurance chômage s’il vient à arriver que le projet soit un flop.

À savoir, le gérant du SAS est affilié au régime général de la Sécurité sociale. Il en est de même pour le cas du gérant de la SARL. À la différence que pour le SAS, le gérant est soumis au régime général. Sa couverture et protection sociale est donc plus élargie et plus complète. Un autre point qui fait pencher la balance vers cette forme juridique.

Quid de la cession des actions

4. Quid de la cession des actions ?

Dans le statut juridique, il est possible de trouver l’exhaustivité des clauses sur les modalités de transmission. Pour simplifier, la cession d’actions est libre. Sauf, bien évidemment, si les contrats entre les associés évoquent le contraire.

Lorsque la cession des parts a été effectuée, l’actionnaire cessionnaire doit informer l’administration fiscale. Il doit, par ailleurs, s’acquitter des droits d’enregistrement et de mutation. Ces derniers s’élèvent à 0.1% depuis août 2012. Avant cette date, ce taux était de 3%.

5. Le SAS : aucune restriction par rapport au nombre d’associés

Pour le SAS, il n’y a aucune limitation du nombre d’associés. Contrairement au cas de la SARL où on parle de 100 maximum. Pareillement, certaines activités sont inaccessibles aux autres formes de sociétés à responsabilités limitées. Ce qui n’est pas le cas du SAS. Vous pouvez opérer dans tous les domaines : épargne, capitalisation, assurance, etc.

À préciser également qu’il est très facile de faire intégrer d’autres investisseurs au sein de la société. Il n’y a pas de clauses d’agrément pour la cession de parts ou de titres.

Voilà cinq grands avantages de créer votre société sous la forme juridique de SAS. Bien entendu, il ne s’agit pas des seuls avantages. Si on constate actuellement un nombre croissant des entrepreneurs qui optent pour ce statut, c’est parce qu’il s’agit d’un statut qui facilite l’administration et la gestion d’une entreprise.

Vous pouvez toujours récolter plus de renseignements au sein du tribunal de commerce. Sinon, vous pouvez faire appel à une assistance juridique pour obtenir des informations complètes sur la création d’une SAS.

Organiser son espace de travail pour augmenter sa productivité

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Organiser son espace de travail

Selon une récente étude, les lieux de travail nets et rangés auraient un impact positif sur la productivité de leurs occupants. Détendus et sereins, ces derniers peuvent enfin se concentrer sur leurs objectifs.

Si vous faites partie de la team désordonnée, voici quelques conseils à appliquer. Ils visent à booster rapidement vos performances professionnelles.

Conseil numéro 1 : supprimez toutes sources de distraction

Beaucoup de gens ont une énorme pile de dossiers qui trônent sur leur bureau de direction. À force de procrastiner, ils accumulent encore et encore. Jusqu’à l’engloutissement total. Pourtant, la plupart de ces objets et documents entreposés çà et là ne servent pratiquement à rien !

Et dans la même veine, ce désordre inopportun déconcentre ! Après avoir constaté l’ampleur des dégâts, n’hésitez pas à trier, enlever, ranger et jeter ce qui n’a plus aucune utilité. Prenez donc le taureau par les cornes et assainissez définitivement votre espace de travail !

Conseil numéro 2 : organisez votre poste de travail

La planification joue un rôle clé au sein d’une entreprise ! Avant de réaliser une mission, posez d’abord ses bases théoriques. Ainsi, vous êtes certain d’arriver au résultat escompté. Plutôt que de vous précipiter sur vos outils de travail, prenez quelques minutes pour planifier votre journée.

Bien évidemment, ce laps de temps sert aussi à ranger le bureau. Conservez tout ce dont vous aurez besoin en journée, puis débarrassez-vous du reste. Ainsi, vous serez agréablement surpris par le niveau de productivité atteignable !

Conseil numéro 3 : ordonnez ce qui doit l’être

Malheureusement, la majorité des employés détestent classer les documents. Or, cette action fastidieuse apporte une clarté inégalable à l’espace. Il faut aussi souligner qu’il ne s’agit pas seulement d’empiler des chemises cartonnées, mais d’effectuer un véritable travail de fond.

Classez et numérotez vos dossiers dans l’ordre que vous aurez choisi : par date, par importance, par priorité. Ensuite, numérisez-les afin de conserver une copie digitale dans votre ordinateur. Résultat, vous vous débarrassez de la paperasse tout en conservant son contenu à portée de main.

Conseil numéro 4 : profitez à fond des outils technologiques

Eh oui, l’âge de pierre est définitivement révolu ! Plus besoin de porter des cartons à bout de bras ou de fouiller manuellement des archives. Les salariés profitent allègrement des équipements technologiques.

Grâce à l’automatisation systématique de certains processus, le travailleur d’aujourd’hui peut accomplir de nombreuses tâches en quelques minutes. Qu’il s’agisse de la saisie des coordonnées d’un client ou de l’établissement d’un chemin d’enregistrement, rien ne résiste à ces outils futuristes !

Quelques astuces supplémentaires

Pour améliorer efficacement votre productivité en tant que salarié, vous pouvez aussi planifier votre temps de travail. Entre les mails, les appels et les courriers, la concentration vacille continuellement. D’où l’intérêt d’organiser à l’avance ses journées !

En procédant ainsi, chaque action aura sa plage horaire prédéterminée. Parallèlement, vous pouvez hiérarchiser les tâches à accomplir. Selon le degré de priorité, n’hésitez pas à décaler ou anticiper une action.

Au besoin, établissez un code couleur afin de distinguer les tâches prioritaires de celles qui ne le sont pas. En somme, le niveau de productivité est assurément lié à l’environnement de travail. Grâce à ces astuces, vous pourrez décupler vos performances professionnelles en un rien de temps.

Les différents types de visa et leur utilité

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Pour réguler le marché du travail, des normes et des exigences propres à chaque pays sont adoptées. Aux États-Unis, la première exigence de travail pour les étrangers est la détention d’un visa de travail. Cependant, il existe dans ce pays une multitude de visas qui se distinguent les uns des autres. Quels sont les différents types de visas de travail aux États-Unis ? Quelles sont leurs utilités ?

Le visa O : une clé pour immigrer et travailler aux États-Unis

Le visa O est un permis de travail temporaire. Il permet soit à un agent américain de représenter un travailleur étranger aux capacités particulières, soit à un employeur américain d’engager un individu avec des capacités extraordinaires. Pour comprendre davantage ce que permet le visa O, il faut savoir ce que veut dire capacités extraordinaires.

Ce terme désigne en effet une expertise qui est souvent attribuée à une personne qui se trouve au sommet de la chaîne d’évolution de son domaine d’activité. Par exemple, si vous évoluez dans l’éducation et que vous êtes professeur en université (plus haut rang de l’enseignement supérieur), vous êtes considéré comme un travailleur aux compétences extraordinaires.

Le visa O est un visa non immigrant qui ne s’accorde que sur la base de qualifications individuelles. En réalité, appartenir à un groupe ou une équipe éligible au visa O ne vous permet pas d’accéder à ce permis de travailleur. Pour l’obtenir, vous devez travailler ou vous produire à l’occasion d’événements ou de série d’événements organisés dans le domaine de vos aptitudes extraordinaires.

Le visa O est accordé pour une durée de 3 ans, mais il peut être prolongé indéfiniment par tranches d’un an. Lorsque vous obtenez ce type de visa, votre conjoint et vos enfants reçoivent des visas O-3 qui leur donnent la possibilité de venir étudier aux États-Unis. La demande pour le visa O se fait par votre employeur en votre nom sur une période allant jusqu’à six mois avant la date prévue pour le début de l’emploi. Le visa O se décline en deux principales catégories. Il s’agit du visa O-1 A et du visa O-1 B.

Le visa O-1 A est réservé aux personnes qui possèdent des aptitudes exceptionnelles dans les domaines telles que les sciences, l’éducation, les arts, l’athlétisme, les affaires, etc. Lorsqu’il s’agit des arts, vous devez présenter une distinction pour obtenir le visa O-1 A. Le visa O-1 B quant-à lui est exclusivement réservé aux travailleurs évoluant dans les domaines télévisuels ou cinématographiques et qui sont reconnus à l’échelle nationale ou internationale. Notez que pour cette demande de visa, il est possible de se faire accompagner par des avocats spécialistes en la matière.

visa O travail USA

Le visa L-1 ou visa de transfert intra-entreprises

Si vous envisagez de travailler aux États-Unis dans une filiale, une société affiliée, une succursale ou une société mère de votre entreprise actuelle, le visa L-1 est celui qu’il vous faut. Il vous permet de résider aux États-Unis dans le cadre de votre travail pendant au moins 1 an et au plus 7 ans. Pour obtenir le visa L-1, vous devez répondre à certaines exigences.

Tout d’abord, ce permis de travail n’est réservé qu’à certains travailleurs. Il s’agit par exemple des gestionnaires, des cadres et des personnes qui ont des connaissances spécialisées au sein d’une entreprise.

Il existe essentiellement deux types de visas L-1 : L-1 A et L-1 B. Le visa L-1 A est destiné aux dirigeants et aux gestionnaires d’entreprise tandis que le visa L-1 B est destiné aux travailleurs ayant des connaissances spécialisées.

Pour obtenir l’un ou l’autre de ces visas, les exigences sont les mêmes. Il s’agit essentiellement :

  • d’avoir été employé pendant au moins un an dans un autre pays que les États-Unis au cours des trois dernières années,
  • d’avoir effectivement reçu une opportunité de promotion ou une offre de transfert vers une succursale de votre société qui se trouve aux États-Unis,
  • d’être inscrit comme employé à temps plein dans votre entreprise actuelle,

De plus, il est impératif que vous occupiez un poste de gestionnaire, de cadre supérieur ou encore que vous possédiez des compétences spécialisées utiles à votre entreprise. Notez qu’il n’y a aucune restriction concernant le type d’activité à mener par une entreprise qui recrute des employés demandeurs du visa L-1.

Le H1-B : un visa pour travailler sur la durée

Si vous cherchez un visa pour travailler suffisamment longtemps sur le territoire américain pour faire carrière dans votre domaine de compétences, c’est ce visa qu’il vous faut absolument avoir. Pour être éligible au visa H-1B, il faut :

  • être diplômé de l’enseignement supérieur avec un diplôme correspondant au moins au niveau licence,
  • être embauché pour un emploi nécessitant au moins une qualification de niveau licence,
  • avoir un employeur prêt à vous payer le salaire moyen en vigueur pour ce type d’emploi.

Notez qu’il est très important pour vous d’avoir un employeur sponsor, car c’est ce dernier qui vous aidera à effectuer les différentes démarches requises à l’obtention du visa H1-B. Le visa H-1B est accessible aux travailleurs de tous les secteurs d’activité. Il a une durée de validité de trois ans renouvelable une fois. Choisir d’obtenir ce visa vous offre la possibilité de travailler pendant six ans aux États-Unis. Cette durée est le cumul des périodes respectives que vous passez à divers postes ou dans plusieurs entreprises.

L’un des grands avantages qu’offre le visa H-1B est qu’il vous permet de faire la procédure pour obtenir la Green Card, le permis de vivre aux États-Unis jusqu’à votre décès. Une fois que vous faites cette demande, vous pouvez rester légalement aux USA jusqu’à ce que la procédure aboutisse, même si votre visa est expiré. La durée maximale pour cette attente est de 10 ans. Faire cette demande vous donne donc l’opportunité de bénéficier d’au moins quatre années supplémentaires après expiration de votre visa H-1B.

Par ailleurs, votre visa H-1B est dépendant de l’emploi pour lequel vous êtes venu aux États-Unis. Pour cela, votre visa n’est plus valide lorsque vous perdez votre emploi. Toutefois, une période de grâce de 60 jours est accordée depuis 2017 aux travailleurs qui perdent leur emploi. Une fois que vous aurez trouvé un nouvel emploi, vous pourrez transférer votre visa à votre nouvel employeur. Le visa H-1B ne vous empêche pas de travailler en parallèle auprès de plusieurs employeurs. Vous devez cependant avoir un H-1B pour chaque employeur.

Visas études supérieures

Le visa J pour travailler à court terme ou faire un stage

Il se décline en trois sous-catégories de visa avec des utilités différentes. Il s’agit du visa J-1 Intern, le visa J-1 Trainee et le visa J-1 Work & Travel.

Le visa J-1 Intern pour un stage en entreprise

Il est principalement destiné aux personnes souhaitant faire un stage. Pour l’obtenir, vous devez être diplômé d’un an au plus ou étudiant. De plus, le stage que vous souhaitez faire doit être forcément en lien avec ce que vous avez étudié ou que vous étudiez toujours. Le visa J-1 Intern est renouvelable à volonté lorsque vous répondez aux critères. Si vous envisagez de faire un stage dans deux entreprises aux États-Unis, il faut impérativement respecter une période de carence de trois mois entre les deux stages.

Le visa J-1 Trainee pour lancer sa carrière professionnelle

Ce visa est réservé aux personnes désirant entamer leur carrière professionnelle aux États-Unis. La première condition d’éligibilité à ce visa est d’être âgé entre 20 et 40 ans. Le visa J-1 Trainee a une durée de validité de 18 mois avec un délai de carence de deux ans à respecter entre deux J-1 Trainee.

Le visa J-1 Work & Travel pour des jobs courts

C’est un permis de travailler vous permettant de faire toute sorte de jobs sur la période du 1er juin au 30 septembre. Il est accordé pour tous les jobs dont la durée n’excède pas quatre mois. Pour obtenir ce visa, vous devez absolument être étudiant dans l’enseignement supérieur et avoir trouvé un travail saisonnier payé.